Les Classiques
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| Le Paradoxe du Footballeur |
| La première et pourtant déjà incontournable. Cette oeuvre majeure des Prisonniers nous plonge dans l'univers inattendu des athlètes à crampons. Qui sont-ils, que font-ils, que lisent-ils (rires), que boivent-ils (combien ?), bref... Tout ce qui devait être dit est dit, et bien dit. (Et j't'emmerde pas mal...) |  |
| Le Précis de Sociologie : Introduction à la Théorie générale du Couple |
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Destiné à un public averti, ce précis est une oeuvre scientifique. Point par point, étape par étape, il retrace le parcours d'un homme qui se croyait perdu, abandonné, seul, et que les
auteurs, dans une mansuétude seigneuriale, rendront à la vie. En résumé, un ouvrage didactique, un outil précieux, sanctionné de nombreux exemples, qui réjouira cet homme moyen, sans avenir et sans joie qui tous les jours prie pour des lendemains qui chantent. Rassure-toi camarade, ça va chanter dans les campagnes ! |
Pour sa fabuleuse adaptation à l'écran |
| Introduction à la Psychologie militaire / Tome I |
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Cet ouvrage, malgré son approche à la fois didactique et simple, s'adresse pourtant à un public averti. Truffé d'exemples et de faits réels, sa franchise pourrait froisser les Rambos les plus féroces. Nous décidons tout de même de le diffuser car la réalité jetée en pleine face vaut parfois mieux qu'un long discours (voire très long et chiant). De plus, un certain soin a été apporté aux tournures de phrases de sorte que même les anti-militaristes convaincus apprécieront ce feuillet. Rassure-toi camarade, les Schleux y chantent plus dans les campagnes... |
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| Le jass facile |
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La meilleure alternative à un cours universitaire...
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| Arnoldt Stuppenfeld, une vie, une oeuvre,... un héros. |
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Cela fait déjà deux siècles que tout le monde en parle, mais il restait pour l'humaniste allemand une consécration à obtenir, sa biographie. Les Prisonniers vous la propose ici en version intégrale et non censurée. Elle retrace une vie pleine, savoureuse, vouée à la cause nomade, une vie simple mais diablement passionnante.
"Va, trouvère, va rejoindre ta mère nature,
Loin ce bardas qui toujours scie tes frêles épaules,
Gagne monts et vaux pour atteindre ce soleil qui nous fait vivre,
Fends l'horizon qui sans cesse te pousse à avancer,
Mais n'oublie pas en chemin l'athlète à crampon."
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